MAJ Postgresql sur Debian Jessie

La mise à jour est simple sur Debian :

[pastacode lang=”bash” manual=”apt-get%20install%20postgresql%20postgresql-client” message=”” highlight=”” provider=”manual”/]

Mais si une version est déjà en place, il faut penser à mettre à jour les liens symboliques du type (pg_dump, pg_restore) :

[pastacode lang=”bash” manual=”ln%20-s%20%2Fusr%2Flib%2Fpostgresql%2F9.5%2Fbin%2Fpg_dump%20%2Fusr%2Fbin%2Fpg_dump%20–force%0Aln%20-s%20%2Fusr%2Flib%2Fpostgresql%2F9.5%2Fbin%2Fpg_restore%20%2Fusr%2Fbin%2Fpg_restore%20–force” message=”” highlight=”” provider=”manual”/]

Changer le mot de passe admin d’Ipfire

Par défaut le mot de passe admin d’IpFire est le même que le root de la machine. Ce qui peut se relever vite lourd si vous avez mis un “super” mot de passe bien difficile 😉

Pour changer le mot de passe de l’interface web de votre IPFire, il faut commencer par activer l’accès SSH à la machine.

Connexion au site IpFire de la forme https://IP.serveur:444
Allez ensuite dans le menu Système rubrique Accès SSH
Activer l’accès puis sauvegarder

IpFire_SSH

Continue reading  

Trouver la version d’un linux

Plusieurs solutions sont possibles pour retrouver le nom de la distribution + noyau d’un linux :

[pastacode lang=”bash” manual=”uname%20-a%0A%3E%C2%A0Linux%20debian%203.16.0-4-amd64%20%0A%3E%20%231%20SMP%20Debian%203.16.7-ckt25-2%20(2016-04-08)%20x86_64%20GNU%2FLinux%0Acat%20%2Fetc%2Fissue%0A%3E%C2%A0Debian%20GNU%2FLinux%20%208%0A” message=”” highlight=”” provider=”manual”/]

On peut également utiliser la commande lsb_release

[pastacode lang=”bash” manual=”lsb_release%20-d%20-c%20-i%20-r%0A%3E%20Distributor%20ID%3A%20Debian%0A%3E%20Description%3A%20%20%20%20Debian%20GNU%2FLinux%208.5%20(jessie)%0A%3E%20Release%3A%20%20%20%20%20%20%20%208.5%0A%3E%20Codename%3A%20%20%20%20%20%20%20jessie%0A%0A” message=”” highlight=”” provider=”manual”/]

La sauvegarde avec Rsync

Sous linux rsync permet de sauvegarder ou synchroniser des dossiers. Le but est de sauvegarder un ensemble de dossiers entre 2 machines d’un même réseau local.

[pastacode lang=”bash” message=”” highlight=”” provider=”manual” manual=”rsync%20-av%20–delete%20–backup%20–backup-dir%3D%2Ftmp%2FCorbeille%0A%20%20%20%20%20%20–exclude%3D%2Fmnt%2FHd1%2Ftrashbox%20-e%20%22%2Fbin%2Fssh%22%20root%40192.168.0.x%3A%2Fsource%20%2Fdestination%2F”/]

Décryptage de la commande rsync :

-av : le a pour le mode d’archivage classique et le v pour que le mode verbeux.
--delete : permet de supprimer dans la destination les fichiers qui ne sont plus présent dans la source (mode mirroir).
--backup : ajoute une fonction de sauvegarde des fichiers effacées avec la commande --delete ce qui génère une sorte de poubelle des fichiers effacés.
--backup-dir= : indique l’emplacement des fichiers qui sont mis à la poubelle.
--exclude= : permet d’exclure un sous dossier de l’ensemble sauvegardé.
-e "/bin/ssh" : indique l’utilisation d’une connexion à distance pour atteindre les fichiers. Dans notre cas, c’est par ssh et c’est pour la source qui se trouve à distance.
root@192.168.0.x:/source : indique la source. Elle se trouve à distance et on utilise l’utilisateur root sur la machine distante 192.168.0.x

Pour que la connexion puisse se réaliser sans utiliser le mot de passe de root, il faut utiliser un échange de clefs SSH comme expliqué dans cet article

/destination/ : indique le dossier de destination

Explication sur le choix du / mis à la fin des syntaxes de la source et de la destination.
Le fait de pas mettre / à la fin de /source et dans mettre un à la fin de /destination/ permet de créer une arborescence de sauvegarde du type /destination/source automatiquement. La racine de la source est directement prise et générée sur le dossier de destination.

Continue reading